Archive septembre 2010
Dégustation au Domaine de Riencourt
Dégustation organisée (12.09.10) par mon ami Philibert Frick pour célébrer les 60 ans de l’acquisition du domaine par son père et son grand-père.
Pour les rouges, la dégustation porte sur une horizontale de bordeaux 2000
Nous commençons par un magnum du Château Sociando Mallet 2000
- La robe est légèrement voilée de couleur cerise, le nez est franc, discret et fin sur les fruits mûrs d’où domine la cerise.
- La bouche est dure, mais elle devient plus souple et gouleyante. Au milieu toutefois la fin de bouche est dominée par un côté végétal.
- En finale, il y a une légère amertume, une structure harmonieuse et un bon équilibre.
Whisky Time à Lutry
Encore une bonne excuse pour aller voir mes amis Anne-Marie et Franco Graticcia. En effet ces derniers ont organisé une de leurs fameuses dégustations dont le thème cette fois-ci sera Glendronach et Glenfiddich. C’est l’occasion de revoir certains amis et de passer un très bon moment (10.09.10).
La soirée commence par une dégustation d’un nouveau Glenfiddich rich wood à 40 %
N : raisin de Corinthe, noisette, tapenade et poivre. Pas mal au nez, voyons si la bouche confirme le nez.
B : droite pas très expressive, nous retrouvons les raisins de Corinthe, la noisette et la tapenade, mais les arômes semblent moins présents qu’au nez.
F : très courte malheureusement. C’est bien fait mais cela n’offre aucune sensation. C’est toutefois une bonne mise en bouche.
Verticale de Château Pavie
Nous voici réunis, ce samedi 4 septembre 2010, pour une magnifique soirée. Benjamin, Patrick, Bruno, Philippe, Sandro, Carmen, mon père et moi-même . Le but de notre rencontre: une verticale d’anciens millésimes du Château Pavie (encore sous la houlette de la famille Valette jusqu’en 1998). Pourquoi ce vin est pas un autre ? J’ai souvent entendu autour de moi que Pavie était devenu grand que depuis la reprise de Gérard Perse… Comme je suis un peu sceptique des critiques modernes, je voulais mieux comprendre ce vin et ce beau terroir. Est-ce que le vin n’était pas au niveau à l’époque ? Voilà ce qu’on voulait savoir à travers une série de millésimes plus anciens. Pour ne pas influencer les critiques, nous avons fait des séries de trois vins à l’aveugle.
Double anniversaire autour de quelques flacons
Nous nous retrouvons ce jeudi 26 août 2010 pour un double anniversaire. Celui de Philippe et Barth. Emilie, Carmen, Patrick, une amie à Philippe et moi-même sommes aussi présents. Pour l’occasion on va sortir quelques bouteilles et deux superbes ombles du lac pêchés par mon père. Il y aura aussi en entrée une salade verte aux gésiers et coeurs de canard, de l’agneau du Sisteron et un riz basmati déjà célèbre (je l’ai trop cuit… c’était d’ailleurs un peu la honte )
Champagne H. Germain brut 1947. Niveau de la bouteille basse goulot, presque vidange. Nez crémeux, lactique et de caramel. On y trouve aussi de la prune. On sent beaucoup d’acidité et un peu d’oxydatif. La bouche confirme le côté légèrement oxydé, mais relativement plaisant. Beaucoup d’acidité en lame de couteau, du pruneau et de la noix. Très belle bouteille qui prouve une fois de plus la grandeur des vieux champagnes.