Archive août 2010
Que faire durant un dimanche pluvieux ?
Très bonne question… L’idéal durant ces dimanches pluvieux, c’est d’inviter quelques amis (Patrick, Benoît, Philippe, Fabio, Carmen et moi-même) autour d’une bonne table. Au menu cigares, vins et pique-nique gastronomique
La table sera magnifique, composée de saumon sauvage du Canada, de lard de Begnins, de divers pâtés de canard et de porc noir, de saucisses et du boudin de cochon noir de Bigorre. Bien évidemment un beau plateau de fromages avec du brie, de diverses tommes et du vieil emmenthal sera aussi de la partie.
On commence la dégustation avec un blanc du Château de Loyse 1961. Un beaujolais blanc qui a bien vécu. Couleur orangée et ambrée. Le nez est plaisant, on y trouve de la noix, des amandes et du gingembre. La bouche est bien évidemment madérisée, mais moins qu’au nez. C’est surprenant et encore buvable. On retrouve la noix, les amandes et le gingembre.
Soirée vins américains
Notre petite équipe de cinq personnes (Carmen, Patrick, Pierre, Jean-Michel et moi-même) se retrouve au restaurant de l'Aérodrome de Prangins. Nous sommes le samedi 7 août 2010 et le temps est exceptionnel ! Nous avons eu beaucoup de peine à trouver des personnes qui n'étaient pas en vacances ou aux feux d'artifice de Genève… Ce qui est sûr c'est que nous n'allons plus jamais organiser de soirées au mois d'août et durant les feux… Il semblerait qu'on appelle ça l'expérience !
On commence avec un Zinfandel California 1981 de William Noble. Nez neutre et madérisé. En bouche le vin montre ses limites et aussi une certaine fatigue. Après un moment le vin se redresse quelques instants sans pour autant nous emballer.
Une semaine bien chargée !
On commence avec la visite de Barth pour une petite soirée tranquille (29.07.10) avant qu’il ne reparte pour l’Espagne.
On attaque un rosé moelleux Cabernet d’Anjou 1944 du domaine Balbut. Mon ami Ludovic avait été assez critique sur ces vins et je pense que je peux le comprendre même si cette bouteille et ce millésime sont surprenants. Couleur orange cuivrée très foncée. Le nez est légèrement madérisé, sur le champignon et le bonbon anglais. La bouche est très fluide, légère mais ne démontre pas une grosse structure, ni une longueur hallucinante ! Ce vin n’est quand même de loin pas éteint et je dois quand même tirer mon chapeau pour ce très vieux rosé. Bon